Ce projet s'engage dans une étude exhaustive des risques naturels, en mettant particulièrement l'accent sur les phénomènes d'érosion et d'inondation au Congo, spécifiquement dans les villes de Brazzaville et Pointe-Noire. L'objectif est de développer des solutions à la fois à court et à long terme, impliquant toutes les parties concernées.
Dans le cadre de ce projet, nous faisons usage des Systèmes d'Information Géographique (SIG) en association avec des domaines connexes (géosciences, gestion de l'environnement, aménagement du territoire, climatologie, etc.) pour la prévention et la gestion des risques naturels.
Dans sa première phase d'exécution, le projet est réalisé à titre bénévole, mais reste ouvert à la possibilité de recevoir des financements.
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Aperçu
Décrypter l’exposition aux risques naturels (érosions, inondations) des arrondissements de Brazzaville
En utilisant QGIS pour traiter une image satellite (Modèle Numérique de Terrain SRTM ALOS), une carte hypsométrique de Brazzaville a été générée. Elle représente les gammes d'altitude. Cette carte, associée à d'autres critères comme l'occupation du sol, qui peut permettre une analyse multicritères pour établir des cartes de risques d'inondation ou d'érosion.
Cette première carte révèle déjà des disparités dans l'exposition aux risques naturels entre les différents arrondissements de Brazzaville. Par exemple, Poto-Poto est plus vulnérable aux inondations que Mfilou et Djiri, qui, en raison du relief accidenté, sont davantage sujets à l'érosion et à l'ensablement. Les spécialistes en aménagement peuvent tirer encore plus d'informations de cette première carte.
Analyser l'exposition aux risques naturels tels que l'érosion et les inondations dans les arrondissements de Pointe-Noire implique l'utilisation de QGIS pour traiter une image satellite (Modèle Numérique de Terrain SRTM ALOS).
Une carte hypsométrique de Pointe-Noire a été générée, illustrant les variations d'altitude. En intégrant cette carte à d'autres critères, tels que l'occupation du sol, une analyse multicritères permet de produire des cartes de risques d'inondation ou d'érosion. Cette première cartographie révèle des disparités dans l'exposition aux aléas naturels entre les arrondissements de Pointe-Noire. Par exemple, Lumumba, Mvou-Mvou et Ngoyo sont plus vulnérables aux inondations, tandis que Mfilou et Djiri, en raison de leur relief accidenté, sont davantage sujets à l'érosion et à l'ensablement.